Que vous ayez un prêt immobilier à rembourser ou non, l’Etat considère que le loyer moins les charges inhérentes au bien sont appréhendées par le contribuable. Ainsi en cas d’emprunt, il n’est déduit que les intérêts (rémunération de la banque) et le capital remboursé n’est pas pris en compte. Le bénéfice foncier est ensuite soumis à l’impôt sur le revenu (tranche de 14 ou 30% le plus souvent) plus 17.2% de prélèvements sociaux. Si votre locataire vous paie seulement l’équivalent de la mensualité d’emprunt, la fiscalité « foncière » vous fera facilement débourser 150 à 200 € par mois d’impôts alors que vous n’avez pas ces fonds provenant d’un enrichissement immobilier !

2 moyens de remédier à cela :